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Cahiers de l’IREDU

Les cahiers de l’IREDU ne sont plus édités depuis 2009

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N° 70 – Magali Danner, Gilles Galodé : Analyse des processus de fermeture dans l’accès à l’emploi : les professions indépendantes vocationnelles. IREDU, mars 2009, 182 p. 18 euros

N° 69 – Christine Leroy-Audouin, Bruno Suchaut : Les classes à plusieurs cours : principes de constitution, affectation des élèves et effets pédagogiques. IREDU, juin 2007, 202 p. 18 euros

N° 68 (annexes)– Sophie Morlaix, Bruno Suchaut : Evolution et structure des compétences des élèves à l’école élémentaire et au collège : une analyse empirique des évaluations nationales. IREDU, mai 2007, 259 p. 20 euros. – Annexes uniquement en ligne

N° 67 (annexes) – Noël Adangnikou, Jean-Jacques Paul : Efficience de l’enseignement supérieur dans la production des élites. Le cas des classes préparatoires scientifiques aux grandes écoles. Dijon, IREDU, octobre 2004. 164 p. 16 euros

N° 66 – Marie Duru-Bellat, Nathalie Mons, Bruno Suchaut : Caractéristiques des systèmes éducatifs et compétences des jeunes de 15 ans : l’éclairage des comparaisons entre pays. Dijon, IREDU, février 2004, 158 p. 16 euros

N° 65 – Marie Duru-Bellat, Magali Danner, Séverine Le Bastard-Landrier, Céline Piquée : Les effets de la composition scolaire et sociale du public d’élèves sur leur réussite et leurs attitudes : évaluation externe et explorations qualitatives, décembre 2003 ; 178 p. 18 euros

N° 64 – Nadir Altinok : La Banque mondiale et l’éducation en Afrique subsaharienne : de grandes paroles pour de petites actions ?, décembre 2003, 225 p. 20 euros.

N° 63 – Jean-Pierre Jarousse, Christine Leroy-Audouin : Les activités scolaires des élèves durant les congés d’été et leurs conséquences sur le niveau des connaissances à la rentrée. 2001, 164 p. 16 euros

N° 62 – Denis Meuret, Sylvain Broccolichi, Marie Duru-Bellat : Autonomie et choix des établissements scolaires : finalités, modalités, effets. 2001, 308 p. EPUISÉ – Disponible uniquement en format PDF
Une évolution majeure des systèmes éducatifs est l’accroissement des prérogatives des établissements scolaires et celui de la possibilité pour les parents de choisir l’établissement de leurs enfants. Cette revue de la littérature de recherche, en France et à l’étranger, aborde les thèmes suivants, successivement pour chacun de ces deux thèmes : Environnement et objectifs politiques de ces décisions, les raisons que la théorie sociologique ou économique donne de les approuver ou de les critiquer, les formes précises qu’elles prennnent dans les différents pays développés, leur degré de mise en oeuvre, et enfin ce que l’on peut savoir de leurs effets sur l’efficacité et l’équité des systèmes éducatifs.
A major trend in Educational systems is to increase the autonomy of schools and to give users more freedom to choose their school. This review of the scientific literature, in France and abroad, tries to answer the following questions, for each of the two trends : political aims of these policies, theoretical justifications for support or critic, implementation,and finally what can be known of their consequences on educational effectiveness and equity.

N° 61 – Séverine Le Bastard, Bruno Suchaut : Lecture-écriture au cycle II : évaluation d’une démarche innovante, 2000, 170 p. EPUISÉ – Disponible uniquement en format PDF
Suite à une vingtaine d’années de recherche-action en collaboration avec une équipe d’enseignants, Jacques Fijalkow (psycholinguiste, Université de Toulouse) a élaboré une démarche d’apprentissage de la lecture-écriture nommée « ECLEC » (Ecriture, LECture). Cette démarche est expérimentée depuis plusieurs années par des enseignants qui ont suivi des stages de formation continue.
Un dispositif d’évaluation de ces pratiques pédagogiques a été mis en place au cours de l’année scolaire 1998-1999 dans 48 classes de CP des départements de l’Aude et de la Haute-Garonne (19 classes expérimentales, 29 classes témoins). Les résultats de l’évaluation indiquent que la pédagogie appliquée par les maîtres « novateurs » (pédagogie « ECLEC »), en référence aux pédagogies plus classiques, exerce une influence positive sur les progressions des élèves en lecture (les effets sont toutefois différenciés selon le domaine exploré par les tests). En outre, les élèves des classes expérimentales estiment être plus autonomes et plus performants que les autres dans leur démarche d’apprentissage.

N° 60 – Marie Duru-Bellat (Irédu), Annick Kieffer (Lasmas) : La démocratisation de l’enseignement « revisitée » : une mise en perspective historique et internationale des inégalités des chances scolaires en France, 1999, 313 p., 20 euros
Bien que l’analyse des inégalités à l’école et de la démocratisation de l’enseignement constituent un domaine largement exploré par les sociologues français, la France restait largement absente des comparaisons internationales en ce domaine.
Ce travail a eu pour objectif de construire, à partir d’une exploitation originale des enquêtes FQP et des panels d’élèves, des données françaises autorisant de telles comparaisons. Cela a conduit à reprendre avec précision l’analyse de la démocratisation de l’enseignement tout au long du siècle. Des comparaisons avec quelques pays européens sont ensuite engagées, qui, au-delà des résultats produits, débouchent sur un certain nombre d’interrogations à la fois méthodologiques et théoriques, ainsi que sur des réflexions en terme de politique éducative.

N° 59 – Marie Duru-Bellat, Alain Mingat : La gestion de l’hétérogénéité des publics d’élèves au collège, 1997, 227 p., 22 euros
Depuis l’instauration du collège unique, tous les élèves d’une classe d’âge sont supposés être scolarisés, en premier cycle secondaire, dans des contextes de scolarisation identiques. Le texte examine dans quelle mesure les collèges suivent ce principe ou bien constituent en leur sein des classes de niveau ; on conclut, sur la base d’observation de plus de 200 collèges qu’il y a des pratiques variées à cet égard mais qu’une proportion forte de collèges recourt clairement à ce mode de groupement ; on observe qu’il y a en fait davantage de variété produite par les collèges par la constitution de classes que les collèges n’en héritent de par la carte scolaire.
Le texte examine ensuite les effets de ces groupements sur les progressions des élèves et il conclut i) que les classes de niveau (homogènes) ne constituent pas un contexte favorable aux acquisitions et ii) que le regroupement d’élèves faibles entre eux (« pour qu’ils reçoivent un enseignement qui corresponde à leurs besoins ») constitue le contexte le plus défavorable pour eux.

N° 58 – Sophie Genelot, Alain Mingat : L’enseignement des langues à l’école élémentaire : quels acquis pour quels effets au collège ? Eléments d’évaluation : le cas de l’anglais, 1995, 200 p., 20 euros
Ce rapport est basé sur une enquête longitudinale qui a consisté à suivre pendant deux ans un échantillon de 1500 élèves entrant au collège. Certains de ces élèves avaient bénéficié d’un enseignement de l’anglais à l’école primaire dans le cadre d’une expérimentation mise en place par le ministère de l’Education nationale, d’autres débutaient cet apprentissage au collège. Le dispositif d’évaluation mis en place a permis de conduire deux types d’analyses. D’une part, on a décrit l’effet d’un certain nombre de facteurs qui déterminent le niveau atteint en anglais par les élèves aux différentes étapes de la scolarité. D’autre part, on a mesuré l’impact de l’expérimentation sur les acquisitions des élèves au collège : au final, il s’avère que l’intérêt de cette expérimentation apparaît très limité.

N° 57 – Gilles Galodé : Les écoles d’art en France : évolution des structures d’offres et des effectifs, 1994, 300 p., 22 euros
Ilot de formation disciplinairement inassimilable et institutionnellement parcellisé, les écoles d’arts plastiques constituent un segment atypique et peu exploré du système d’enseignement supérieur français. Malgré de nombreux particularismes, volontiers entretenus, qui ont prolongé durablement un type d’existence parallèle si ce n’est marginale, cet ensemble est engagé depuis une trentaine d’années dans un processus de réformes original, discret et néanmoins radical.
Dans une première partie, cette étude analyse les facteurs historiques de ces particularismes, ainsi que les conséquences significatives de ce processus de réformes. Un bilan statistique en saisit les principales dimensions, dans une perspective temporelle cohérente.
La deuxième partie aborde deux points : la redéfinition structurelle de l’offre, tout en sachant que la notion de carte d’offre est historiquement étrangère à cet enseignement, dont quelques indicateurs simples mettent en évidence l’ampleur des disparités inter-établissements et des déséquilibres inter-régionaux ; les caractéristiques des étudiants : effectifs d’entrée et de sortie, statut, niveau d’études, origine géographique, origine géographique, origine socio-professionnelle, …

N° 56 – Alain Mingat, Bruno Suchaut : Evaluation d’une expérimentation d’activités musicales en grande section maternelle, 1994, 226 p., EPUISÉ (photocopies 16 euros)
Une évaluation d’une expérimentation d’activités musicales conduite en grande section de maternelle montre que les enfants qui ont bénéficié d’un enseignement musical spécifique que (de 2 ou 4 h hebdomadaires) ont réalisé des performances scolaires supérieures à ceux qui étaient scolarisés dans les classes témoins. Ces résultats valent sur les acquis de fin de grande section masi aussi de façon plus convaincante sur les scores en lecture et en mathématiques en fin de cours préparatoire. Au-delà des effets moyens observés, il apparaît que certains élèves, ceux dont les acquis étaient les plus faibles en début de grande section, les élèves étrangers et ceux qui n’ont pas bénéficié d’une scolarisation précoce, profitent plus que d’autres, de cette expérimentation musicale.

N° 55 – Marie Duru-Bellat, Jean-Pierre Jarousse : La classe de Seconde : une étape décisive de la carrière scolaire, 1993, 138 p., 10 euros
L’objectif de cette recherche est d’analyser les processus d’orientation à l’issue de la classe de seconde en portant une attention particulière à la différenciation des comportements entre garçons et filles à côté des variables socio-démographiques classiques que sont l’âge et l’origine sociale. On s’est également intéressé au rôle spécifique, dans ces processus, des options suivies en cours de 2nde. L’analyse s’appuie sur une enquête qui permet d’analyser les choix d’orientation en fonction des acquis scolaires de fin de 3ème (mesurés sur la base des résultats aux épreuves communes du BEPC) et de la progression scolaire réalisée pendant l’année de 2nde. Cette recherche a porté sur 4 établissements de la Côte d’Or choisis en fonction de la variété des options de 2nde proposées. Mille jeunes scolarisés en 2nde en 1991-92 ont ainsi été suivis.
Parmi les résultats obtenus, on note que : 1) le choix des options de seconde est lié avant tout au niveau scolaire des élèves en fin de troisième, même si à ce niveau on remarque une différenciation sensible des choix entre garçons et filles; 2) ces choix d’options exercent à leur tour une influence spécifique sur les orientations en première, attestant d’une certaine rigidité du fonctionnement de cette seconde dite de détermination; 3) dans le public d’élèves parvenus en seconde IES, on n’observe plus, à notes et options identiques, de différence sociale d’orientation en première, même vers une classe aussi recherchée que la première S; 4) le moindre accès des filles à la première S provient pour des parts égales des choix d’options effectuées en seconde et de leurs conséquences en matière d’orientation, et, à option comparable, d’une moindre demande des filles pour cette classe.

N° 54 – Serge Chomienne : Analyse coût-efficacité de l’enseignement assisté par ordinateur : le cas de la formation en cours d’emploi, 1992, 220 p. + ann., 20 euros
Cette recherche a pour objet d’étudier l’intégration de l’Enseignement Assisté par Ordinateur (EAO) dans la formation en cours d’emploi. L’étude s’articule en deux parties, théorique et pratique. En premier lieu, elle montre l’importance d’une approche en termes d’efficacité interne de la formation, et donc d’une analyse du rapport coût-efficacité. Appréhender le rapport coût-efficacité signifie aborder la structure et la problématique générale des coûts de l’EAO. Parallèlement à l’évolution des coûts, il s’agit d’étudier l’efficacité de l’EAO, c’est à dire évaluer les effets quantitatifs et qualitatifs de sa mise en oeuvre sur les trois protagonistes de la formation : les formés, le formateur et le système de formation.
L’EAO peut-il contribuer à améliorer le rapport coût-efficacité ? Une étude comparative formation traditionnelle/enseignement avec EAO a été menée pour tenter de répondre à cette question. Les différentes évaluations s’établissent auprès de divers entreprises et instituts de formation (EDF/GDF, Renault Véhicules Industriels, Merlin Gérin, Centre de Formation de la Petite Entreprise et du Commerce -CEPC- de Lyon, Association pour la Formation Professionnelle de la Métallurgie de l’Ain -AFPMA-, Centre d’Enseignement Individualisé de la Société d’Enseignement Professionnel du Rhône -SEPR-, Centre de Formation des Maîtres de Châlon sur Saône), tant au niveau de la forme d’intégration de l’EAO, que de la matière enseignée, du public visé, de la nature du stage (conventionnel/Centre d’enseignement individualisé) ou du caractère de la démarche (volontaire/obligatoire).
L’étude montre qu’il est difficile de comparer stricto sensu EAO et enseignement traditionnel. Les coûts unitaires augmentent avec l’EAO notamment en raison des coûts de production des logiciels dans une phase au cours de laquelle les économies d’échelle ne peuvent jouer pleinement. En revanche, il semble que les temps de formation soient plus courts avec l’EAO. Il en résulte un gain pour l’entreprise dont le personnel est retiré pendant une période plus courte de ses activités de production.

N° 53 – Azzedine Si Moussa, Estelle Orivel : Modes de vie et préférences des étudiants dijonnais, 1992, 195 p., 13 euros
Ce cahier présente les résultats d’une enquête, réalisée du début de l’année 1991, sur les conditions de vie des étudiants de l’Université de Bourgogne. Un questionnaire détaillé a été soumis à un échantillon représentatif selon le critère de l’origine géographique. Les thèmes abordés concernent les aspects essentiels de la vie quotidienne d’un agent économique : l’ensemble des aspects budgétaires, le logement, le transport, la restauration, les lieux de consommation, les moyens d’information, les loisirs, etc… Sont mises en évidence des informations très précises sur les activités et les préférences des étudiants par rapport aux diverses caractéristiques de l’offre de services et de produits. Pour les initiateurs de l’enquête, la Jeune Chambre Economique de Dijon, le fait de mieux cerner le comportement des étudiants et leurs besoins devait permettre de mesurer leur intégration économique et l’appréciation qu’ils portent à l’université, à la ville, au département et à la région. Autrement dit, l’enjeu est d’importance : il s’agit de gérer de manière adéquate l’installation et la croissance de la population étudiante. Cette préoccupation est celle de nombreuses villes universitaires; L’exploitation d’enquêtes de ce type, pouvant être approfondie sur des points particuliers, constitue une référence statistique riche d’enseignements.

N°52 -Jean-Pierre Jarousse, Alain Mingat : L’école primaire en Afrique : fonctionnement, qualité, produits : le cas du Togo, 1992, 308 p.

N° 51 – Marie Duru-Bellat, Jean-Pierre Jarousse, Alain Mingat : De l’orientation en fin de 5ème au fonctionnement du collège – 3 – Les inégalités sociales de carrières du C.P. au 2nd cycle du secondaire, 1992, 156 p., 13 euros
Ce cahier fait suite aux deux cahiers n42 et 45 et est consacré à des analyses longitudinales. Les données transversales de démographie scolaire montrent des différenciations sociales importantes dans l’accès à des niveaux identifiés de la scolarité, tels que le baccalauréat ou l’accès à l’enseignement supérieur. Ainsi, pour l’accès au second cycle observe-t-on que la fréquence est de 87 % chez les enfants de cadres supérieurs, contre seulement 32% chez les enfants d’ouvriers. Autant cette perspective transversale est utile autant elle est insuffisante pour identifier selon quel « calendrier » et par quels mécanismes se constituent progressivement ces différenciations.
Le cahier vise à apprécier les rôles respectifs de chacun des niveaux d’enseignement en distinguant ce qui tient à des différences sociales de réussite, et ce qui se joue en propre dans les procédures institutionnelles d’orientation. En outre, il examine les critères d’orientation en 5ème qui se seraient révélé a postériori pertinents pour prédire les scolarités ultérieures des élèves. La comparaison de ces derniers aux critères effectivement pris en compte est une mesure de la légitimité du fonctionnement de la procédure d’orientation. Il s’agit ici d’une perspective temporelle longue puisqu’on examine les différenciations sociales dans les chances d’accès à un second cycle long sur la base de reconstitution des carrières individuelles depuis l’entrée en primaire.

N° 50 – Jean Bourdon : Formation et compétitivité des régions européennes : un essai d’analyse sur quatre pays de la CEE, 1991, 120 p., 10 euros
Parc technologique, industrie pilote,… dans la logique de l’aménagement du territoire, l’accent semble de plus en plus mis sur la dotation en ressources humaines d’une zone géographique. Comme, d’autre part, la capacité à exporter conditionne l’essentiel des possibilités de croissance économique, on peut s’interroger sur l’impact d’une forte dotation en capital humain comme avantage absolu des produits sur les marchés extérieurs. Dans une recherche par l’entreprise de source de compétitivité, la localisation dans une région à haut niveau de formation de la main d’oeuvre peut être une stratégie a priori pertinente. Dans ce texte, on tente de donner une explication des perfor-mances d’une région à l’exportation en fonction des niveaux de formation de la main d’oeuvre disponible et de la structure des qualifications qui en découle. Ceci dans le contexte d’un espace européen où les écarts entre pays s’estompent. Après la construction d’indicateurs de comparaison des niveaux de formation initiale, on vérifie que l’effet de qualité des formations régionales influence la capacité à exporter d’une région.

N° 49 – Alain Mingat, Marc Richard : Evaluation des activités de rééducation GAPP à l’école primaire, 1991, 152 p., 10 euros
Les GAPP (groupes d’aide psycho-pédagogique, transformés récemment en réseaux d’aide) ont été créés vers 1970 pour répondre aux besoins temporaires d’élèves en difficulté à l’école primaire. Cette structure a été peu évaluée et le texte propose une évaluation d’une part du fonctionnement des services et de l’allocation des moyens alloués aux différents GAPP, d’autre part, des effets des rééducations entreprises sur les acquisitions et carrières scolaires des élèves.
Les résultats montrent des aléas importants dans l’allocation des moyens, ainsi qu’une très substantielle variété dans le fonctionnement des différents GAPP. Concernant les effets, et pour ce qui concerne les acquisitions et les carrières scolaires, on observe des résultats très décevants. En effet, les élèves qui ont bénéficié d’actions de rééducation ont des performances moindres que les élèves de caractéristiques semblables qui n’en ont pas bénéficié. Outre le fait que les actions de rééducation sont prises sur le temps scolaire, le rapport démontre l’importance des effets d’étiquetage négatif associés à l’admission en rééducation. De façon jointe à cette évaluation des GAPP, le rapport examine le fonctionnement général de l’école primaire, en mettant en évidence notamment le rôle très important des maîtres dans l’explication des acquisitions des élèves.

N° 48 – Jean-Pierre Jarousse : Formation et carrières : contribution de la théorie du capital humain à l’analyse du fonctionnement du marché du travail, 1991, 116 p., 10 euros
Ce texte se propose de réunir quelques arguments en faveur de la reconnaissance du rôle de la théorie du capital humain dans les progrès de l’analyse du fonctionnement du marché du travail. Au niveau le plus élémentaire, la théorie du capital humain a suscité une confrontation théorique et empirique centrée sur l’analyse des déterminants des gains qui a permis une relance de l’intérêt des économistes pour les phénomènes liés au marché du travail. Plus fondamentalement, la mise à jour des particularités du capital humain et notamment de son incorporation à la personne, a ouvert un vaste champ d’investigation dans lequel se sont inscrites la plupart des analyses économiques actuelles des phénomènes d’emploi. On montre ici que le rapprochement de ces différentes théories peut offrir une justification à la différenciation individuelle des carrières dont rendait compte traditionnellement les différentes analyses de la segmentation du marché du travail.

N° 47 – André Giffard : l’aide à la décision à l’échelon local ou régional : le cas de la Formation Professionnelle, 1990, 84 p.

N° 46 – Jean-Jacques Paul, Marc Richard, Jean Dupraz (Rectorat de Dijon), Jean-Michel Pierret (Rectorat de Dijon) : Éléments d’évaluation du programme de formation pour la préparation à l’emploi des jeunes de 16 à 25 ans, 1988, 62 p.

N° 45 – Marie Duru, Alain Mingat : De l’orientation en fin de cinquième au fonctionnement du collège – 2 – Progression, notation, orientation : l’impact du contexte de scolarisation, 1988, 221 p.

N° 43 – Gilles Galodé : L’emploi des ingénieurs agronomes et des travaux agricoles : formation, insertion et mobilité professionnelle, 1986, 250 p., 12 euros
L’auteur présente tout d’abord de façon détaillée l’enseignement supérieur des Sciences de l’Agronomie. Après un bref historique, il rappelle les projets de réforme concernant les ENSA et les ENITA (rapports J. Mothes), puis examine les filières et les conditions d’accès aux Ecoles d’Ingénieurs, ainsi que leurs effectifs, en situant ce type de formation dans le système des Grandes Ecoles. L’auteur opère ensuite une synthèse des résultats obtenus à partir d’une enquête élaborée à l’initiative de la Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche (DGER) du Ministère de l’Agriculture et qui tente d’appréhender le devenir professionnel des ingénieurs qui sont issus des ENSA et des ENITA grâce à l’analyse de leurs trajectoires (promotions 1967 et 1977). L’auteur examine successivement la population enquêtée, sa formation; l’accès de cette population au marché de l’emploi; l’évolution des situations professionnelles et les différents phénomènes de mobilité internes ou externes révélés par l’enquête.

N° 42Marie Duru, Alain Mingat : De l’orientation en fin de 5ème au fonctionnement du collège – 1 – Evaluation de la procédure,1985, 166 p., 10 euros
Analyse des mécanismes de l’orientation à l’issue de la classe de cinquième, à partir d’une enquête dans 17 collèges de l’Académie de Dijon, représentant 2350 élèves, scolarisés en 1982/1983. Etude de l’impact des caractéristiques socio-démographiques des élèves sur l’orientation à l’issue de la 5ème ; analyse des interactions entre les différents acteurs engagés dans le processus de l’orientation. Analyse de la variété des pratiques d’un collège à l’autre.

N° 41 – Jean Perrot, Benoit Millot : Enseignement agricole et devenir professionnel, 1985, 129 p.

N° 40 – André Giffard, Jean-Jacques Paul, Marc Richard : Stratégies et trajectoires des jeunes sans diplôme : éléments d’évaluation du dispositif de formation et d’insertion des jeunes de 16 à 18 ans en Bourgogne, l985, 85 p., 8 euros
Etude des stratégies et des trajectoires des jeunes sortis sans diplôme du système scolaire et évaluation de l’impact du passage par le « dispositif 16-18 » sur ces trajectoires. Enquêtes par interviews auprès de jeunes urbains et ruraux, un sous-groupe de jeunes étant passé par le dispositif, l’autre n’y ayant pas passé, de façon à pouvoir comparer les trajectoires.

N° 39 – Max Beytan, Serge Cuenin, Jean-Claude Eicher : L’évolution de l’enseignement supérieur en France et en Israël (1972-83), 1985, 190 p., 12 euros
Analyse comparative de l’évolution des systèmes d’enseignement supérieur en France et en Israël de 1972 à 1983. Etude de l’évolution des flux d’étudiants et des diplômés, puis observation des moyens d’une part en personnels, d’autre part en monnaie mis en oeuvre au cours de la période. Evolution des moyens de la recherche uni-versitaire et de sa place dans la recherche nationale. Synthèse des observations et amorce d’une analyse des causes de l’évolution observée.

N° 38 – Jean Perrot, Marie-Thérèse Rapiau : Offre d’équipements socio-culturels et sportifs et comportements des élèves : conséquences pour une politique sociale, 1984, 124 p., 10 euros
Analyse de l’offre de loisirs et des pratiques d’élèves de 4ème ; action expérimentale avec incitation à la pratique d’une activité sportive ou culturelle; analyse des réactions immédiatement après l’action et 3 mois après. Propositions pour mener une politique sociale afin d’obtenir une meilleure participation d’une population ciblée.

N° 37 – Alain Mingat : Évaluation analytique d’une action zone d’éducation prioritaire au cours préparatoire, 1983, 120 p.

N° 36
– André Giffard, Clément Lacaille, Jean-Jacques Paul : Analyse d’un système régional de formation professionnelle continue : le cas de la Bourgogne, 1983, 213 p.

N° 35 – Alain Mingat, Jean Perrot : Les déterminants de l’orientation scolaire en fin de troisième, 1982, 125 p.

N° 34 – Alain Mingat, Marie-Thérèse Rapiau : L’insertion professionnelle des apprentis en Bourgogne, 1982, 120 p., 8 euros
Présentation générale de l’apprentissage et présentation d’une enquête sur deux promotions d’apprentis sorties, l’une en 1976, l’autre en 78, des Centres de Formation d’Apprentis de Bourgogne. Analyse des caractéristiques démographiques et scolaires de la population étudiée. Analyse de l’insertion professionnelle des apprentis trois mois après le C.A.P., puis analyse statistique comparée de la pénétration sur le marché du travail. Constatation de la proximité entre la spécialité de la formation et celle de l’emploi.

 
N°33 – Alain Mingat, Jean-Bernard Rasera : Enquête longitudinale 3 : après la première année d’études : réorientation, réussite, scolarité, 1981
 
N°32 – Alain Mingat, Jean Perrot : Familles : coûts d’éducation et pratiques socio-culturelles, 1980
 
N°31 – Alain Mingat, Jean Perrot : Colloque sur l’offre d’éducation, 1979
 
N°30 – Alain Mingat, Jean Perrot :  Les enseignants des universités : dotations des établissements, conditions de travail des enseignants, 1978
 
N°29 – Partie 1 – Partie 2 – Alain Mingat : Essai sur la demande d’éducation, 1977 (2 tomes)
 
N°28 – Gérard Lassibille : L’économétrie des variables qualitatives, 1978
 
N°27 – Partie 1Partie 2 – Jean-Jacques Paul : Contribution à l’analyse des relations entre système éducatif et système productif, 1978
 
N°26 – Marie Duru : La demande d’éducation à l’issue de l’enseignement secondaire, 1978
 
N°25 – Gérard Lassibille, Alain Mingat, Jean Perrot : Les effets de la modification de la carte universitaire 1960-1975, 1978
 
N°24 – IREDU : Rapport scientifique 1977, 1977
 
N°23 – Alain Mingat, Jean-Bernard Rasera, collab., Gérard Lassibille, collab., P. Delannoy, collab., C. Michelot, collab. : Enquête longitudinale 2, la première année d’études, la réussite, l’abandon, l’échec, 1976
 
N°22Partie 1 Partie 2– IREDU : Les déterminants de la réussite scolaire : actes de la table ronde internationale du 10-11 juin 1976, 1976
 
N°21 – Jean-Jacques Paul : Pour une approche économique de la liaison éducation-loisir, 1976
 
N°20 – Alain Mingat, P. Delannoy, collab., T. Dieu, collab. ; C. Paul, collab., Jean Perrot, collab. ; Jean-Bernard Raséra, collab. : Enquête longitudinale 1, les « premières inscriptions », 1976
 
N°19 – Marie Duru : Les études de lettres et sciences humaines à l’université de Dijon, 1976
 
N°18 – Serge Cuenin : La scolarité des étudiants à l’université, 1976
 
N°17 – IREDU : Éducation et répartition : actes de la Table Ronde Internationale, Dijon, 5-6 juin 1975, 1975
 
N°16 – Martin Carnoy, M. Carter : Théorie du marché du travail, éducation et distribution des revenus, 1975
 
N°15 – J. Lamblot, François Orivel : Les exclus du système français de bourses, 1974
 
N°14 – Jean-Paul Beltramo : Les dépenses des collectivités publiques locales pour l’enseignement en France : années 1970, 1974
 
N°13 – Alain Mingat, Christine Paul, Jean Perrot : La réussite des étudiants économistes : Université de Dijon, 1974
 
N°12 – Alain Mingat, Jean Perrot : Transferts sociaux et éducation, 1974
 
N°11 – IREDU : Coût d’entretien et d’éducation d’un enfant : année 1972, 1974
 
N°10 (partie 1) – N°10 (partie 2) – IREDU :  Éducation et égalité : travaux du séminaire de Dijon, 27-28 mai 1974, 1974
 
N°9 – Jean Perrot : Programmation linéaire et planification de l’éducation, 1974
 
N°8 (annexes) – Alain Mingat, J.M. Carré, J.J. Friboulet : Le coût de l’éducation à la charge des parents, 1974
 
N°7 – D. Grisard : L’université et la formation permanente, 1973
 
N°6 – Jean Danrey : La réinsertion professionnelle des femmes, 1973
 
N°5 – Gilles Galodé : Le financement des études supérieurs par l’emprunt : approches théorique et empirique, 1973
 
N°4 – Serge Cuenin : Les coûts unitaires dans l’enseignement supérieur, 1973
 
N°3 – B. Fustier : Localisation optimale des établissements scolaires, 1973
 
N°2 –  C. Chetcuti, Jean Danrey : Niveaux de formation et qualifications : essai d’analyse sur les industries mécanique et métallurgique en Bourgogne, 1972
 
N°1 – Benoit Millot : Capital humain et migrations interregionales, 1971

Les publications hors-collection

IREDU/ADEA/Coopération française – Les politiques de gestion des personnels enseignants dans les pays d’Afrique subsaharienne francophone, Georges Solaux, 1997, 250 p., 20 euros

IREDU/SUFCOB – Activités professionnelles et compétences des ingénieurs de production, M.T. Rapiau, 1993, 123 p., 12 euros. Ce rapport part de la diversité des situations professionnelles observées dans les entreprises. Il se présente en trois parties : emploi-type et compétences associées, propositions sur le recrutement en formation initiale et modes organisationnels des formations des ingénieurs de production, plus spécifiquement dans les Nouvelles Filières de formation d’Ingénieurs en alternance.

IREDU/CESE – L’évaluation des formations : points de vue comparatistes : actes du 15e Congrès de l’Association Européenne d’Education Comparée, Dijon, 1992 – Volume 1 ; Evaluating of Education and Training : Comparative Approaches : 15th Conference of the Comparative Education Society in Europe, Dijon, 1992 – Volume 2 / Marlaine Cacouault, François Orivel, éditeurs, 1993, 1050 p., 20 euros les 2 volumes

IREDU/GRETA – La formation continue des jeunes : contenu et impact, André Giffard, Jean-Jacques Paul, 1981, 142 p., 2,5 euros. Action d’actions de préformation et de perfectionnement menées au GRETA de Châlon-sur-Saône et du devenir socio-professionnel des anciens stagiaires.

IREDU/INPSA – La qualité du système rénové de formation professionnelle continue agricole, H. Savy, J. Clément, J.Danrey, F. Gateau, M.O. Hanriot, Orivel, 1991, 140 p., 10 euros

IREDU/INPSA – Du CAP au BP : les difficultés d’un changement de niveau dans la filière de formation agricole. Conséquences sur l’offre d’éducation, Hervé Savy, 1989, 201 p., 10 euros

Pour tous renseignements

Vous pouvez contacter Sébastien FINOT, secrétaire-gestionnaire de l’IREDU : par mail : secretariat.iredu@u-bourgogne.fr par téléphone 03.80.39.54.50…
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Les cahiers de l'IREDU ne sont plus édités depuis 2009

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